Claude 24 June 2023
f’ai décidé de commence à cemie ce jounal poussée par deux raisons. La 1ère c’est qu’a chaque mois de janvien, il est soie de pendre des réso futions et de s’y tenur et deuxièmement en revisant une tia duction d’un manuel de la prêtrise, je suis touctée se ce paragraphe qui mettait l’accent sur l’icpertaine qu’il y a à tamme un journal familial pour y noter les événements impertants, les expérieuces spurituelles émielissantes, les éclues et les succès et tout cela destiné aux générations qui vieu diout après nous. J’espère que nous transcrivois dans ce journal les elioses siguificatioes denchre vie etce de façon régalière et que ces lignes avront quelque valeur pour non descendants.
Etape impertante dans notre vie: Papy et Mainy sont repartistée pour la France après le mois fanés avec nous pour damai et 8 pour Papa– Comme cela m’a semplé court. Mamau est avivée (mois avant la naissance de Céline et celle-ci promène partout en s’ac cocliant aux meubles maintenant. Cette séparation no man querà pas d’être duné pour les paients qui adoient telle–ment leurs petits–enfants, pour les enfants qui j’avaient tout le temps avec leurs grandeparents et pour nous qui allons devoir nous aganiser longtemps à l’avance chaque fois, qu’il faudia sertir ou aller faire des commissions!
Helissa est descendue ce matin pour aller trouver Papy et Ramy en sas comme tous les matins et elle a pleiné quand elle a constaté sonn assence. Cluistophe lui est convaincu que Batmau va l’aider à voler jusqu’en France pour retrouver ses grands–parents.
Il semble qu’aujourd’hui je ne me sens assise que pour manger. et encore… jeae mue audais pas compte à quel point 3 enfants pouvaient donnér du travail.
Nous souinces peutées lier soir de notre voyage de + secaines en France et j’ai pensé qu’il serait bien de retransaire ici les grandes ligues de notre voyage. Peut-être les enfants aimennt-ils relié ces quelques pages dans quelques années…
Nous sommes partis le 4 juin de Colerado Sping àWaskügta via Denver. Bausavions choisi d’aller ànington) ccai ou nous avait parlé de la pas. sibilité d’un” Space availalle“. Anivès là–bas, il noues à d’aberd été annonce que nous n’y avions pas divit co les erdus de missionde juibe n’étaient pas ceux qu’il fallait. Après plusieurs haes de déscussion ils n’ont tjis rienvoulu entendu et puis de toute facuée, il n’y avait plus de places dans l’avion.
Anibe (qui est assez obstiné) à demandé àà pai. les au téléphine au gerant à de Gunre A.F.B. (Dew Jusey), lui expluquant notre situation. le donner nous a dit qu’il n’y avait aucun problème et qu’il pouvait presque nous garantie des places dans une vol devant partir la randi soie (cela se passait le dundi veis 12 ou (3henes !). Nous avivn loué une voitire pr circuler dans Wasticegtac qu’il nous fallut lâcher pr en louer une autre pi as rendu à Me bun. Avec la lâte que l’on devine, nous avons effectué le chaugement, eml quant et désaiquant nos mille et uns valixes, accompagnés par les pleins (de fatigue et d’éneivement) des enfants qui en avaient assez d’être tucuballés et bousculés et qui demaie daient sans cesse quand est-ce qu’on allait rentier à la maison. Etnous n’avivées pas encère quitté les U.S.A! (nous avons quand même en la joie de renduvisité à Gjun Hait le missionnane qui m’avait baptisée – et à sa famille ?
Vicialement veis 2ot30 nous sommes anives haiassés et compus à me buire A.F.B. et apiès avoii convaincé un portei de rapperter notre voi ti à l’ageue de location, avoir ampli 36000 papiees, attendu de nombreuses heies Cet les enfant et ces même étions alvis au boudde l’épuisement) nous avons pu embarquée dans un ouia militaire C141 en compagnie de qques 5o autres personnes et de plusieurs malades cai il s’agissait d’un aviou d’évacnation médicale; le cadie du CIEl n’a absolument nieu à voir avec ce que je convaissais des DC8, Dc1o Boeing 70t, 722 ou 287.
Enmontant dans cet avion j’avais l’imepression de montér dans un appareil de gueue tels qu’on les voit dans les filuis ; sièges liès indimentaies, installés Dieu seul sait pourquoi dans le secis iuveise de la maiche, des tubes et des cables appaients paitout, des couleurs grses ou veites et d’accertes ho–tesses de l’aù de 50 às5 ans, pas fireément jolies ni féminines, militaires elles aussi mais fert réconvables au démeurant – Le c14l a une autre particulanté : ce doit être (lucême avant le Concorde tant contiaversé) l’avioci le plus bunyaut qu’il y ait au moude.! Mou cher oibe nan rêtait pas de me dire pour me rassurer qu’il s’a gissait d’un liès bon appareil et que nous résquias absolument iieu. Il en était coundineu et les enfants aussi cai ils dirmirent tous pendant la plus grande partie du voyage, ne se réveillant que pour manger et se rendirmin aussitôt. Pendant que moi, enspée et tendue pendant les 8 ou9 tiemes que dura le voyage (nous finées escale
Claude 27 April 2025
J’ai décidé de commencer à écrire ce journal poussée par deux raisons. La 1ère c’est qu’à chaque mois de janvier, il est bon de prendre des résolutions et de s’y tenir et deuxièmement en relisant une traduction d’un manuel de la prêtrise, je suis tombée sur ce paragraphe qui mettait l’accent sur l’importance qu’il y a à tenir un journal familial pour y noter les événements importants, les expériences spirituelles enrichissantes, les échecs et les succès et tout cela destiné aux générations qui viendront après nous. J’espère que nous transcrirons dans ce journal les choses significatives de notre vie et ce de façon régulière et que ces lignes auront quelque valeur pour nos descendants.
Etape importante dans notre vie: Papy et Mamy sont repartis hier pour la France après 10 mois passés avec nous pour Maman et 8 pour Papa. Comme cela m’a semblé court… Maman est arrivée 1 mois avant la naissance de Céline et celle-ci se promène partout en s’accrochant aux meubles maintenant. Cette séparation ne manquera pas d’être dure pour les parents qui adorent telle–ment leurs petits–enfants, pour les enfants qui jouaient tout le temps avec leurs grands-parents et pour nous qui allons devoir nous organiser longtemps à l’avance chaque fois qu’il faudra sortir ou aller faire des commissions!
Mélissa est descendue ce matin pour aller trouver Papy et Mamy en bas comme tous les matins et elle a pleuré quand elle a constaté leur absence. Christophe lui a convaincu que Batman va l’aider à voler jusqu’en France pour retrouver ses grands–parents.
Il semble qu’aujourd’hui je n’me suis arrivée que pour manger… et encore… Je ne me rendais pas compte à quel point 3 enfants pouvaient donner du travail.
Nous sommes rentrés hier soir de notre voyage de 7 semaines en France et j’ai pensé qu’il serait bien de retranscrire ici les grandes lignes de notre voyage. Peut-être les enfants aimeront-ils relire ces quelques pages dans quelques années…
Nous sommes partis le 4 juin de Colorado Springs à Washington via Denver. Nous avions choisi d’aller à Washington D.C. car on nous avait parlé de la possibilité d’un “Space available“. Arrivés là–bas, il nous a d’abord été annoncé que nous n’y avions pas droit car les ordres de mission de Mike n’étaient pas ceux qu’il fallait. Après plusieurs heures de discussion, ils n’ont rien voulu entendre et puis de toute façon, il n’y avait plus de places dans l’avion.
Mike (qui est assez obstiné) a demandé à parler au téléphone au gérant à Mc Guire A.F.B. (New Jersey), lui expliquant notre situation. Ce dernier nous a dit qu’il n’y avait aucun problème et qu’il pouvait presque nous garantir des places dans un vol devant partir le lundi soir (cela se passait le lundi vers 13 heures!). Nous avions loué une voiture pr circuler dans Washington qu’il nous fallut lâcher pr en louer une autre pr nous rendre à Mc Guire. Avec la hâte que l’on devine, nous avons effectué le changement, embarquant et débarquant nos mille et une valises, accompagnés par les pleurs (de fatigue et d’énervement) des enfants qui en avaient assez d’être trimballés et bousculés et qui demandaient sans cesse quand est-ce qu’on allait rentrer à la maison. Et nous n’avions pas encore quitté les U.S.A.! (Nous avons quand même eu le joie de rendre visite à Lynn Hopt, le missionnane qui m’avait baptisée – et à sa famille).
Finalement vers 20H 30 nous sommes arrivés harassés et nerveux à Mc Guire A.F.B. et après avoir convaincu un préposé de rapporter notre voiture à l’agence de location, avoir rempli 36 000 papiers, attendu de nombreuses heures (et les enfants et nous même étions alors au bord de l’épuisement), nous avons pu embarquer dans un avion militaire C 141 en compagnie de qques 50 autres personnes et de plusieurs malades car il s’agissait d’un avion d’évacuation médicale. Le cadre du C 141 n’a absolument rien à voir avec ce que je connaissais des DC 8, DC 10, Boeing 707, 727 ou 747.
En montant dans cet avion j’avais l’impression de monter dans un appareil de guerre tels qu’on les voit dans les films: sièges très rudimentaires, installés Dieu seul sait pourquoi dans le sens inverse de la marche, des tubes et des câbles apparents partout, des couleurs grises ou vertes et d’accortes hô–tesses de l’air de 50 à 55 ans, pas forcément jolies ni féminines, militaires elles aussi mais fort secourables au demeurant. Le C 141 a une autre particularité: ce doit être (même avant le Concorde tant controversé) l’avion le plus bruyant qu’il y ait au monde…. Mon cher Mike n’arrêtait pas de me dire pour me rassurer qu’il s’agissait d’un très bon appareil et que nous ne risquions absolument rien. Il en était convaincu et les enfants aussi car ils dormirent tous pendant la plus grande partie du voyage, ne se réveillant que pour manger et se rendormir aussitôt. Pendant que moi, crispée et tendue pendant les 8 ou 9 heures que dura le voyage (nous fîmes escale